Le ravitaillement en eau sur le parcours


Cela a l’air anodin comme sujet mais quand il commence à faire plus de 30 degrés à l’ombre, les réserves des gourdes s’épuisent vite ou chauffent.
Ce qui est désagréable.

Sur le site du Roulard on essaye de référencer le plus possible les points d’eau que nous trouvons sur la route mais il n’y en a pas forcément partout mis à disposition.

Donc, on met en marche le système D.

Les premiers qui viennent à l’esprit sont

  • le bar du coin
  • les bornes des campings que nous croisons sur la route. Un petit tour dans le camping, repérage et remplissage sont vite fait aux sanitaires.

Ceux auxquels on ne pense pas forcément sont les cimetières que nous trouverons dans n’importe quelle commune de France.
Il y a très souvent un point d’eau à disposition pour arroser les plantes avec l’arrosoir de rigueur à portée de main.
Cherchez l’arrosoir, vous trouverez le point d’eau.

Pour patienter, on dit souvent que sucer un caillou permet de ré-humidifier la gorge grâce à la salive.

Personnellement, je préfère un Ricola aux plantes. Plus sain surtout si on l’avale par inadvertance.

Concernant l’eau qui chauffe dans les gourdes, l’astuce est de se confectionner un cagoule à gourde en tissu que l’on mouillera à chaque fois que l’on passe devant un point d’eau, rivière ou autre. avec le vent relatif du vélo, il se produit une réaction qui permet de maintenir l’eau du bidon relativement fraiche.

Pour l’instant je n’ai rien trouvé de mieux que le sac à dos avec réserve de 2l d’eau. Je n’ai pas encore compris pourquoi elle restait relativement fraiche. En tout cas cela rempli tout ce que j’attends d’autant plus que le seul emplacement du bidon d’eau est maintenant occupé par une batterie.