Faut être malade pour pédaler en plein cagnard !


Et puis c’est dur, il y a des montées.

On a la chance d’être dans un pays vert où les arbres ne manquent pas.
Les voies cyclables sont souvent implantées dans des espaces de verdure. Donc, nous sommes plus à l’ombre que le baigneur.

D’autre part, nous générons du vent en roulant, ce qui n’est pas le cas du baigneur.
La chaleur n’est donc pas un problème pour nous.

Sur nos 7 années de parcours, nous n’avons en souvenir que 2 journées torrides :

  1. Étape Biscarosse -> Gastes
    Longue ligne droite en bord de route sans arbres.
  2. Arrivée à saint Laurent où l’on est sorti du couvert des platanes du canal du midi pour se retrouver en rase campagne à 2h de l’après-midi.

Quant à la pluie, nous l’avons essuyée uniquement deux après-midi et une courte partie de nuit :

  1. A Lacanau, où nous avons fait étape dès le midi juste avant que cela ne commence.
  2. A Etel, bruine et crachin à volonté pendant 3h => arrêt gastronomique.
  3. A Carcassonne la nuit. En gros, tests des tentes.

De quoi mettre un chat dehors justement.

Concernant, la difficulté potentielle liée au cyclo-tourisme, je rappelle que nous ne faisons pas de vélo dans l’année et affirme que notre littoral atlantique est plutôt facile.
À part de longues montées en Bretagne et les Pyrénées bien sûr, ce fut de grandes promenades avec quelques petits bas mais surtout des hauts.

Concernant les montées, il faut aussi se dire qu’il y a les descentes derrière.

Dans les prochaines années nous testerons la Manche, mais jusqu’à présent, nous n’avons jamais eu à subir de grandes difficultés.