Cape Town, Afrique du Sud (FDV).

Coïncidences troublantes dans un hôpital municipal. Pendant plusieurs mois consécutifs, les infirmières de permanence découvraient systématiquement le vendredi matin un mort dans la chambre 311 de l'unité des soins intensifs.
Il n'y avait apparemment aucune explication plausible aux décès à répétition de tous ces patients, en traitement lourd certes, mais pas en danger de mort.
Les médecins ont vainement étudié la possible contamination bactériologique de l'air de la chambre.
Les autorités sud-africaines, alertées par certaines familles des victimes ont donc mené une enquête qui s'est prolongée trois semaines.
Comme malgré les investigations policières, les patients de la 311 continuaient à mourir sans raison à un rythme hebdomadaire, une planque a été organisée à l'hôpital.

La vérité est enfin apparue le vendredi matin à 6 heures précises lorsque la femme de ménage s'est présentée dans le couloir de la chambre maudite. Elle a ouvert la porte de la chambre 311 et a débranché le respirateur artificiel du patient pour brancher son aspirateur.

La direction de l'hôpital a déclaré qu'elle envisageait d'acheter sans délais une double-prise pour la 311.

L'affaire est considérée classée.

Amédée Bhu

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En fait, cette histoire fait partie des légendes urbaines et est à classer dans la gatégorie "prétendues vraies".
Merci à Chris pour son complément d'information :

J'ai pense que vous seriez intéressé de savoir que cette histoire est en fait fausse :
L'article du Cape Times de 1996 d'ou le texte est partiellement tiré
Une enquete approfondie prouvant son statut de légende urbaine (merci à D.W. pour le lien)